C’est l’heure du récap ! Cette semaine, les pages de Fisheye partagent des récits d’affirmation de soi. En parallèle, elles révèlent également des réalités qui peuvent sembler étonnantes à celles et ceux qui n’y sont pas familiers.
Souvent au cœur des thématiques abordées sur les pages de notre site, l’affirmation de soi l’est d’autant plus en cette semaine marquée par la journée internationale des droits des femmes. À cette occasion, nous avons sélectionné une série de projets témoignant de différentes luttes féministes. Dans ce sillage et en écho à la Fashion Week parisienne, nous avons rédigé un dossier qui montre de quelle manière Lisa Fonssagrives-Penn, Clémentine Balcaen et Matilde Søes Rasmussen, trois anciennes mannequins, sont parvenues à se réapproprier leur image par l’entremise du 8e art. Dans un autre registre, Dennis Morris, dont le grand œuvre est actuellement présenté à la Maison européenne de la Photographie, nous explique en quoi la photographie revêt une dimension particulière pour les personnes qui ont migré vers de nouveaux territoires.
Des livres autour de réalités étonnantes
Certaines réalités peuvent sembler étonnantes à celles et ceux qui n’y sont pas familiers. Parmi elles se comptent sans doute les love hotels, pourtant très fréquents au Japon. Comme leur nom le suggère, il s’agit d’établissements dans lesquels les êtres se rejoignent pour s’adonner à quelques plaisirs charnels. François Prost a consacré une série éponyme à l’extravagance de leurs façades. Celle-ci est désormais consignée dans un ouvrage publié aux éditions Fisheye. Enfin, dans un article à retrouver en intégralité dans Fisheye #69, nous vous parlons de Posthume, un livre qui s’intéresse à une pratique méconnue : la photographie post-mortem. Au fil des pages se dévoile ainsi une centaine de clichés montrant des défunts ou encore des objets funéraires issus de la collection de l’artiste Hervé Bohnert. Chaque image raconte une histoire, cliquez ci-dessous pour les découvrir.