C’est l’heure du récap’ ! Cette semaine, les photographes interrogent leur monde et ses évolutions en diffusant de fortes émotions. Cri de désespoir, La Brûlure de Maude Girard révèle, avec une grande poésie, le désastre climatique des mégafeux. Un conte engagé et percutant envahi d’oranges flamboyants. Également attaché·es à l’environnement, et relié·es par lui, Douglas Mandry et Thirza Schaap présentent respectivement à la Galerie Bilhdalle, Wind from Nowhere et Cast Away. Des projets sensibles interrogeant les réalités du monde. Avec Port Talbot UFO Investigation Club, Roo Lewis se penche davantage du côté de l’imaginaire en allant visiter une petite ville galloise, témoin de nombreuses apparitions d’ovnis. Dans un tout autre registre, Valentin Folliet panse avec une immense douceur la douleur d’une perte, et entame le deuil de son ami disparu. Lena Kunz utilise elle aussi le médium en thérapie, et créé afin d’apaiser ses tourments. Des images d’une tendre brutalité. Nicola Lo Calzo, quant à lui, recompose sa Queer Family, et créer un espace serein où chacun·e est amené·e à avancer, danser, aimer librement et retrouver la paix. Un article à découvrir dans les pages du dernier numéro de Fisheye, toujours disponible en kiosque.




