C’est l’heure du récap’ ! Chez Fisheye, mettre en avant les femmes photographes représente un objectif du quotidien que nous prenons très à cœur lors de nos curations et choix éditoriaux. Cette semaine, nous vous dévoilons les œuvres de plusieurs artistes aux univers bien distincts, mais réunies dans un esprit commun : celui de faire rayonner la création féminine. Parmi elles, Lucía Morón s’inspire de sa dernière frustration amoureuse et réalise un portrait aussi tendre que sarcastique sur le mariage à travers des autoportraits et des images d’archives de sa famille. Dans un registre plus contemporain, Brea Souders délivre dans notre épisode Focus hebdomadaire les secrets qui se cachent derrière sa relation épistolaire avec un chatbot. Puis, l’Espagnole Arancha Brandón donne à voir sa pratique du médium variée, de la nature morte à la photo de mode. Un condensé d’images créatives qui constituent son journal intime visuel. La mode s’invite également à la MEP jusqu’au 11 février 2024. À travers Phosphor : Art & Fashion 1990-2023, l’établissement propose plus de trente ans de clichés de l’artiste néerlandaise Viviane Sassen. Cet article est à retrouver dans notre dernier magazine, fraîchement imprimé ! Enfin, à l’occasion du festival PhotoSaintGermain, les cinq lauréates du Mentorat des Filles de la Photo exposent les prémices de leurs travaux au cœur de la Galerie des femmes jusqu’au 30 novembre 2023. Chaque image raconte une histoire, cliquez juste ci-dessous pour les découvrir.
Les images de la semaine du 30.10.23 au 05.11.23 : les femmes photographes s’emparent du médium
© Lucía Morón
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© Lucía Morón
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© Fisheye Magazine
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© Viviane Sassen / Courtesy of MEP
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© Arancha Brandón
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l'aube par des pêcheurs commerciaux au port de Tanjung Luar, le lundi 9 juin 2025, à Lombok Est, en Indonésie. Tanjung
Luar est l'un des plus grands marchés de requins en Indonésie et
en Asie du Sud-Est, d'où les ailerons de requins sont exportés vers d'autres marchés asiatiques, principalement Hong Kong et la Chine, où les os sont utilisés dans des produits cosmétiques également vendus en Chine. La viande et la peau de requin sont consommées localement comme une importante
source de protéines. Ces dernières années, face aux vives critiques
suscitées par l'industrie non réglementée de la pêche au requin, le
gouvernement indonésien a cherché à mettre en place des contrôles plus stricts
sur la chasse commerciale des requins afin de trouver un équilibre entre les besoins des pêcheurs et la nécessité de protéger les populations de requins en déclin © Nicole Tung pour la Fondation Carmignac.
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