C’est l’heure du récap‘ ! Les photographes de la semaine développent des esthétiques très éclectiques, et jouent avec la porosité entre les médiums. Les broderies sur Polaroids de Tatiana Lopez livrent un récit sur l’intersection entre le droit des femmes, la nature et l’expérience coloniale. Le collectif Lusted Men a réunit les archives de plus de 800 photographes différent·es en un ouvrage qui sublime le corps masculin, (trop) rarement perçu comme un objet de désir. Dans une pratique qui flirte avec la peinture, Quentin Fromont s’inspire de mythes et de récits pour faire naître des visions oniriques, fantasmatiques et cauchemardesques. Un travail à retrouver dans notre dernier numéro. La photographie s’expose, jusqu’au 29 septembre, au festival PHOTOESPAÑA 2024, au cœur d’une édition qui défie les frontières de l’image. Enfin, dans un article dédié, nous revenons sur les expérimentations autour du flou présentes dans les œuvres de nos photographes. Chaque image raconte une histoire, cliquez ci-dessous pour les découvrir.
![Tatiana Lopez : s'approprier son histoire à coups d'aiguille](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2024/05/tatiana-lopez-11-462x553.jpg)
![Lusted Men : un livre de photos érotiques d’hommes à paraître prochainement !](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2024/06/fr23-158-laura-lafon-kacim-sonofawitch-462x690.jpg)
![Pour Quentin Fromont, le diable est un Apollon](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2024/05/quentin-fromont-croupir-dans-la-chaleur-des-autres-4-462x652.jpg)
![PHotoESPAÑA : la jeune création célèbre le mouvement permanent](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2024/06/marina-nunez-fuera-de-si-supernova-silvia-2018-marina-nunez-462x462.jpg)
![Les photographes de Fisheye voient flou pour réussir à percevoir](https://fisheyemagazine.fr/wp-content/uploads/2023/11/etienne-francey-fisheye-3-462x347.jpg)