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C’est l’heure du récap ! Cette semaine, les pages de Fisheye célèbrent la Terre. Dans des approches disparates, les photographes évoquent aussi bien l’écologie, le passé que des histoires familiales.
Ce mardi 22 avril marquait la journée de la Terre. À cette occasion, nous avons consacré notre sélection Instagram à notre planète en nous intéressant notamment à la manière dont les artistes la représentent dans leurs tirages. À cela s’ajoute un dossier mettant en lumière l’œuvre d’Alice Pallot, de Letizia le Fur, de Thomas Amen, de Julie Arnoux, de Claudia Fuggetti et de Joel Redman, six photographes dont nous vous avons déjà montré le travail. Portés par des démarches qui leur sont propres, toutes et tous articulent leur pratique autour de la cause environnementale. Pour témoigner des changements climatiques, le géologue Jeff Munroe et l’écologiste Joanna Corimanya ont cherché les lieux où ont été pris des clichés des monts Uinta, aux États-Unis, dans les années 1870, afin de les reproduire.
Des récits ancrés dans le territoire
Dans un autre genre, dans le cadre de la résidence de Château Palmer et Leica, SMITH a réalisé une série sur les terres du domaine, là où ses grands-parents se sont rencontrés il y a des années, à l’occasion d’une kermesse. Pour nous, il revient sur la manière dont il a créé deux de ces compositions. Enfin, Kayla Connors puise dans le cinéma pour élaborer ses éditoriaux de mode. Au fil des clichés, les modèles suggèrent une déclinaison de récits souvent ancrés dans le territoire. Cet article est à retrouver en intégralité dans Fisheye #70, un numéro spécial mode. Chaque image raconte une histoire, cliquez ci-dessous pour les découvrir.