Résultats de recherche pour "mort"

Née en 1976, Sophie Alyz vit et travaille à Paris. Spécialisée dans la nature morte, elle collabore principalement avec des marques de parfums et cosmétiques (Van Cleef & Arpels, Lanvin Parfums, Chanel, Repetto, etc.).Parallèlement à son travail de commande, elle développe des projets personnels autour du rapport de l’humain au vivant et à son environnement […]

Andoni Beristain est né en 1989 dans un petit village situé au nord de l’Espagne et vit aujourd’hui entre Saint-Sébastien et Barcelone. Ses racines basques nourrissent sa pratique, articulée autour d’une recherche sur les formes et les couleurs. Officiant pour de grandes marques et des magazines, le photographe s’adonne aussi bien aux natures mortes en […]

Photographe catalan né en 1992, Eduard Sánchez Ribot capture des natures mortes. Après un diplôme d’ingénieur en multimédia, il quitte sa profession pour apprendre la photographie en autodidacte. Il est l’auteur de la couverture du Fisheye #57. Il vit actuellement entre Barcelone et Paris.

Elsa Parra et Johanna Benaïnous, jeunes autrices prolifiques, forment un duo depuis 2014, date de leur rencontre à New York, sur les bancs de la School of Visual Arts. Plasticiennes, photographes et réalisatrices françaises, leur recherche se concentre autour de l’autoportrait et de la scénographie. Depuis leurs prémices, elles n’ont eu de cesse de créer […]

Photographe et directeur artistique, Tristan Hollingsworth est originaire de Los Angeles. Tantôt romantiques tantôt graphiques, ses créations évoquent des univers familiers, où l’intime, le charnel et la liberté prennent le pas sur nos frayeurs.En multipliant les procédés, les flous artistiques, il compose une galerie de natures mortes, de portraits et de paysages abstraits, chargés de couleurs et […]

Alias Boby, Boris Allin s’est tourné vers une école de journalisme à Marseille pour faire ses armes, avant de déménager à Paris en 2014. Habitué des manifestations, il cherche à documenter les à-côtés avec esthétisme. S’il capture l’actualité, il aime aussi immortaliser les « temps faibles », mêlant tendresse et violence, chaos et sensibilité.

Jeune photographe installée à Buenos Aires, révélée sur Instagram, Delfina Carmona publie quasi quotidiennement sur sa galerie numérique des images tirées de son quotidien. Autoportraits, mises en scène, natures mortes, jeux d’ombres et de lumière… ses clichés alternent entre poésie, sensualité et absurdité.